Je vous disais, il y a quelque temps déjà, que je participais à un jeu d’écriture – à ne pas confondre avec un jeu d’écritures, mais là, il n’y a peut-être que Claude Hagège qui va apprécier l’humour – nommé Ping Pong. J’y officie sous un pseudo que je vous laisse deviner. Chose curieuse, un des participants a listé un jour tous les auteurs en "compétition"… sauf moi ! Deux solutions : soit je suis vexée qu’on n’ait pas repéré mon style inimitable, soit je suis ravie de n’avoir pas été percée à jour. J’hésite…
Bref, Ping Pong est un jeu complexe, passionnant et frustrant à la fois, où il faut bien se garder de mélanger semaine ping et semaine pong, contrainte et consigne, ne pas oublier l’une et respecter l’autre, bref… pas facile ! Pour le moment, mon score est au plus bas. Je ne suis pas la plus mauvaise, parait-il, pourtant je ne suis pas parvenue à trouver qui était pire dans les décomptes de points… Enfin bon, je n’avais pas l’intention de m’étendre sur le sujet, mais de vous parler d’une fantaisie d’écriture mise en ligne sur le blog de Obni. La contrainte est simplissime, le résultat est excellent. Je ne m’y suis d’ailleurs pas encore risquée, tant cette simplicité cache en réalité de complexité. D’autant plus qu’il y a déjà une vingtaine de variations et qu’il devient de plus en plus dur d’être original…
J’ai beaucoup d’admiration pour les auteurs de "variations sur un même thème", comme le faisait par exemple Les clefs sont sur la porte. Elle est géniale et j’attends son retour avec impatience. Son absence ne saurait durer.
Enfin, vous l’aurez remarqué, j’ai changé ma photo… La raison : curieusement, j’ai eu, la semaine dernière, une multiplication par dix des visiteurs quotidiens. Au lieu d’une soixantaine , j’ai eu un pic de plus de 600 pendant deux jours, puis la fréquentation est peu à peu retombée, sans pour autant atteindre encore un niveau normal. Ai-je bénéficié, sans le savoir, d’une pub quelque part ? Possible. Je crois aussi que Google a mis mon blog en exergue parce que j’ai écrit, il y a plusieurs mois, un article sur Botero lorsqu’il a exposé ses toiles sur la prison d’Abou Ghraib. Or, vous le savez sûrement, les tortures sont à nouveau à la Une de l’actualité. Bref, il y a eu du monde sur Stellamaris et j’ai craint pour mon anonymat… D’où le remplacement de ma modeste personne par le chat Lilou qui, on le saura, n’a pas les mêmes horaires que moi, mais possède un fan club que je n’ai probablement pas !
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