La vie m’ayant ramenée sur les bords du lac de Genève, quelle n’a pas été ma surprise de rencontrer à nouveau la petite foulque dont je vous parlais ici même il y a quelques jours !

Mieux : j’ai découvert qu’en réalité, elle était « deux »… et que ce petit couple devait probablement résider non loin de là.En tous cas, il y a une petite plateforme qui permet de prendre un léger repos.

Quant à l’exercice ici décrit, je l’avais fort mal observé. En fait, il ne s’agit pas du tout d’une course absurde contre le courant, mais d’un moyen plutôt malin pour se procurer les herbes et autres végétaux qui sont arrachés des fonds par le déversoir.

C’est comme s’ils avaient découvert un magasin de provisions pour foulques…

On s’amuse d’un rien, n’est-ce pas ?